Si dans la partie belge du projet les complexes
de tourbières sont aujourd'hui encore assez grands et cohérents même si leur
état de conservation est très différent, on ne trouve plus du côté allemand,
que des tourbières isolées dans des états très variables. Suite à leur forte
dégradation par les drainages successifs, les boisements d'épicéas et
anciennement l'exploitation de la tourbe ; la « réhydratation » des tourbières
et habitats associés s'impose souvent comme la première étape nécessaire à la
restauration de ces milieux.
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